C.R. de l'Assemblée générale ordinaire du 11 janvier 2019.

Lons-le-Saunier le 12 janvier 2019

 

ASSEMBLÉE GÉNÉRALE ORDINAIRE 2018

COMPTE-RENDU

Présents :

Bastien Bruno, Bastien Christiane, Beldon Christian, Boudier Marie-Thérèse, Breniaux Pascal, Fumey Cédric, Gauran René, Gonzy Michèle, Jacquier Denise, Lacroix Évelyne, Lambert Marie-Jeanne, Malécot Denis, Martin Joseph, Monnot Françoise, Pageaut Michel, Poirel Gilles, Poncot Ophélie, Renard Michel, Renard Bernadette, Roland Jacques, Schifferdecker François, Tissot Sibille Annick, Trevisan Pierre-Jean, Trossat Chantal, Trossat Jean Claude, Troussard Arlette, Troussard Hervé

Représentés :

Bailly Andrée, Nizan Pierre-Alexis

Excusés :

Grosjean Jean-Pierre, Michelin Philippe, Prost André

Absents :

Bourjaillat Baptiste, Choley Emma, Danton Daniel, Devaux Sandrine, Gilbert Jean-Pierre, Jacquier Gérard, Grebot Maryse, Jacquier Mme, Lacroix Gérard, Leplat Daniel, Lhussiez Julien, Manasterski Chantal, Manasterski Christian, Morland Marjolaine, Perraudin Anne-Marie, Perrin Aurélie, Perrin Anne, Rousset Michel, Saffrey Régis, Verin Laure

Le quorum étant atteint, le président déclare l’assemblée ouverte.

RAPPORT MORAL

Bonjour à toutes et à tous, et mes meilleurs vœux 2019.

Ces vœux, je les formule en particulier pour deux de nos membres du bureau, Philippe Michelin, notre vice président, malade depuis quelques mois et Jean Pierre Grosjean, le maître d'œuvre de notre bulletin, notamment, victime d'un malaise cardiaque. Nous leur souhaitons bon rétablissement.

La Société d'Histoire Naturelle du Jura a été créée le 26 janvier 1919, c'est à dire, il y a un siècle dans quelques jours. En réalité, elle existait depuis quelques années avant la Grande Guerre, et dès 1908 sous l'étiquette d'Association mycologique jurassienne, avec notamment MM Mourot, professeur à l’École Normale et Marquiset de l'Inspection Académique.

La grande guerre, bien évidemment, a limité les activités de cette première société, et dès le retour de la paix, M. Mourot relançait la Société, élargissant son socle de compétence à l'ensemble des sciences naturelles.

En 1946, suite à la seconde guerre mondiale, le conservateur Lachaussée (un forestier) faisait modifier son intitulé, rajoutant à celui-ci « et des Amis de la Nature ».

Depuis la forme de certains articles des statuts a été modifiée pour se mettre au goût du jour, mais les orientations et objectifs n'ont pas fondamentalement changées.

Votre bureau avait souhaité fêter ce centenaire, lequel n'en est peut-être pas un, en réunissant la quinzaine de sociétés œuvrant dans le domaine de la connaissance de la nature. Seules deux ont répondu favorablement. Il n'était donc pas question dans ces conditions de poursuivre dans cette voie.

Je dois préciser que certaines d'entre elles sont issues de notre propre association, parfois dans des conditions délicates à l'origine, et que je peux comprendre leur éventuelle réticence.

Nous reparlerons de ce centenaire au cours des diverses interventions.

Pour revenir de façon plus précise aux activités qui se sont déroulées au cours des douze derniers mois, je préciserai que votre bureau fait un travail d'équipe, chacun d'entre nous ayant des fonctions particulières lesquelles ne sont pas forcement sanctionné par un titre officiel tel celui de président ou de secrétaire par exemple.

C'est pour cela que mes remerciements sont destinés à tous les membres de notre bureau et nous pouvons tous ensemble les remercier.

J'ai aussi particulièrement apprécié l'implication de plusieurs membres de notre à la préparation de notre Festival de la Nature

Mes remerciements vont donc à tous ceux qui se sont impliqués dans ce Festival 2018, que ce soit pour la recherche de champignons, ou en présentant des collections entomologiques, des minéraux et autres fossiles, des photos d'insectes et orchidées, et au dernier instant quelques plantes aromatiques.

Notre Festival de la Nature fut un succès même s'il s'est déroulé dans des conditions météorologiques déplorables pour la fonge et en même temps que l'exposition des mycologues de Lons.

Ainsi tout n'est pas forcément rose dans le monde où nous vivons : il est des situations pour lesquelles nous ne pouvons rien ou guère : tel fut, après un été chaud, un automne lui également sec, et qui n'a permis à la fonge de se développer que juste avant les premières gelées.

Il en est tout autrement des tergiversations d'un nos conférenciers potentiels.

Nous allons donc essayer de faire mieux ce début d'année (SGDG).

RAPPORT D’ACTIVITÉS

Conférences

9 février  Dominique Malécot évoquait « les naturalistes ayant gravi la côte de Mancy » qui furent nombreux à arpenter cette zone très riche qu’il s’agisse de végétaux, de champignons ou d’insectes.

9 mars   Louis Girard nous invitait à regarder de plus près « les plantes des murs ». Petites, discrètes mais nombreuses et variées elles constituent un écosystème tout à fait spécifique.

8 avril  Avec « lynx, loup, ours » Hervé Léthier brossait un tableau des relations entre les grands prédateurs et les sociétés rurales dans le Jura, en évoquant également sa présence de nos jours, du moins en ce qui concerne les deux premiers.

11 juin  Jean-Claude Monnet devait nous parler « des prairies à comté ». Il nous a fait faux bond pour la troisième fois. Le président n’a pas manqué de le remercier…Prévenus trop tard, nous n’avons pas pu trouver une option de remplacement.

12 octobre Olivier Chiodi a eu la redoutable tâche de nous expliciter une découverte de Pasteur « La chiralité », chiralité que, comme M. Jourdain nous pratiquons sans le savoir quand nous enfilons nos gants ou nos chaussures et qui a permis des avancées significatives en biologie en particulier.

9 novembre : Jean-Daniel Michel présentait « le phylloxera » et son impact sur le vignoble jurassien, conférence au cours de laquelle nous avons grandement apprécié les explications d’André Prost sur la vie de la méchante petite bête de même que l’observation de lames microscopiques datant de quelques 120 ans : elles n’avaient pas pris une ride !

14 décembre Gérard Lacroix nous parlait des vertus « des plantes aromatiques »  dont l’usage remonte à la nuit des temps aussi bien pour la prévention que la guérison des maladies. Il nous a initiés à la composition chimique très particulière de ces plantes et bien sûr à l’utilisation des huiles essentielles qui concentrent leurs principes au terme d’un processus complexe de distillation.

Sorties sur le terrain :

Toutes les sorties ont pu bénéficier d’une météo correcte et aucune n’a dû être annulée en raison des intempéries, même celles durant le printemps pluvieux.

Mars : Mercredi 21: Denis nous emmenait en forêt de Chaux pour une visite en deux temps : le matin visite expliquée de la forêt par un garde forestier à la retraite, l’après-midi visite des baraques du 14 qui a permis de retracer la vie des charbonniers, sous la houlette d’un membre de l’Association des villages de la forêt de Chaux.

Avril : Mercredi 25 : c’est Jean-Pierre qui emmenait un groupe aux abords du lac de Vouglans (entre Auge et Barésia).Grand beau temps, plus de 60 espèces de plantes trouvées, tout le monde est heureux.

Mai : Dimanche 27 : C’est Hervé qui s’y colle ! Il a prévu une sortie en 2 temps : le Mont Myon dominant la plaine de Bresse le matin, l’après-midi c’est le Montcel, au-dessus de Treffort. Zone très riche en plantes (90 espèces trouvées dont 10 orchidées) et en insectes (11 espèces parfois à l’état de larve)

Juin : Dimanche 17 Joseph Martin clôturait cette série de sorties en nous emmenant, non sur bords de Saône vers Épervans comme prévu mais à Sermoyer, non loin de la Truchère Ratenelle, sur les bords de l’ancienne Seille avec une incursion sur la Dune des Charmes. Donc, beaucoup d’espèces de milieu humides mais aussi de milieu dunaire.

Festival Natur’ & Fête : 14 avril

Ce festival, à l’initiative de jeunes lycéens du lycée agricole de Montmorot, ayant participé à la formation mycologique, proposait une série d’expositions, conférences, ateliers, auxquels ils nous avaient demandé de participer. Il s’agissait pour eux d’une épreuve obligatoire dans leur cursus. Ils s’en sont bien tiré et nous ont même permis de découvrir Montciel avec un regard nouveau et pourtant, la météo n’était pas leur amie !

Festival nature : 13 – 14 octobre

Comme d’habitude, le festival s’articulait autour de l’expo mycologique qui réunissait seulement 126 espèces, ce qui n’était pas si mal compte tenu des conditions météo.

D’autres expositions très riches : insectes grâce à une toute petite partie de la collection personnelle d’André Prost, minéraux et fossiles de la Société minéralogique, photos prêtées par Gérard Jacquier, plantes aromatiques de Gérard Lacroix.

Une innovation cette année avec un atelier microscope qui permettait de voir « l’infiniment petit ». Les enfants ont particulièrement apprécié. Ils n’étaient pas les seuls.

Traditionnellement, l’inauguration du samedi a permis la rencontre avec quelques élus autour d’un buffet préparé par Christian Manasterski.

Sorties et expositions mycologiques

7 sorties mycologiques seulement, la première ayant été annulée, faute de fonge suffisante. Pour la même raison, les sorties sur la journée qui avaient été envisagées pour élargir le champ de cueillette n’ont pas eu lieu.

Les sorties se sont donc déroulées dans un rayon de 25 km autour de Lons.

Très petite année 256 espèces trouvées (contre 433 l’an dernier)

07 octobre Mirebel. Exposition annulée en raison de la sécheresse

09 octobre Legna. Comme tous les ans, Hervé et Joseph ont participé activement à l’exposition organisée par l’ASCE. 111 espèces exposées.

Formation à la mycologie

Pour la deuxième année, Gilles proposait une formation à la mycologie, science difficile, sous forme de 10 modules de 2 heures durant le dernier trimestre 2018, à raison d’une séance par semaine. 8 participants ont suivi cette formation qui ne sera pas reconduite l’an prochain.

Administration Assemblée générale 2017 : 12 janvier

Réunions de bureau : 13 mars - 7 mai – 30 juillet– 14 novembre

Réunion préparatoire à l’organisation du festival, ouverte à tous le 14 septembre

Bénévolat Le Festival de la nature et les expositions diverses, les conférences, les sorties nécessitent un gros investissement en temps surtout de la part des membres du bureau.

Les sorties, qu’il s’agisse des sorties botaniques ou des sorties mycologiques représentent les 2/3 de temps passé, évalué à 400 h environ. Elles ne reposent que sur quelques organisateurs et sont donc une charge importante pour eux.

À ce nombre d’heures déjà important, il faut encore ajouter le temps de rédaction du bulletin et de mise à jour régulière du site et du blog. Seuls ceux qui s’en occupent pourront vous dire combien de temps ils y passent.

RAPPORT FINANCIER

Bilan du festival

DÉPENSES		RECETTES
Location CARCOM	185,00	Subvention ville de Lons	350,00
Vin d’honneur	66,87	Dons entrée	60,00
Cadres photos	40,00
Affiches festival	29,11
Agrandissement fichier	30,99
TOTAL DÉPENSES	351,97	TOTAL RECETTE	410,00
RÉSULTAT : + 58,03 €

Remarque : le Conseil Départemental ne nous a pas alloué de subvention pour le festival 2018, au prétexte qu’il en a versé une l’an passé, année sans festival, mais avec 3 expositions délocalisées (Mirebel, Macornay, Larnaud).

Force est de constater que les aides des collectivités publiques se réduisent de plus en plus. Par contre la ville de Lons a alloué une rallonge de 200 € pour cette manifestation.

Bilan de l’exercice 2018

DÉPENSES		RECETTES
Festival	351,97	Festival dont subvention Lons	410,00
	0	Cotisations	706,00
Frais assemblée générale 2017	134,84		0
Conférenciers	134,90		0
Entretien local	192,00		0
Assurance	191,42		0
Tenue de compte	8,00	Intérêts livret	57,26
Frais de secrétariat dont bulletin	376,75		0
Achat ordinateur	527,50		0
	0	Subvention ordinaire ville de Lons	120,00
Total dépenses	1917,38	Total recettes	1293,26
RÉSULTAT : - 624,12
solde au 31 décembre 2018 :7 782,16 € ( 8 406,28 € (Solde 2017)– 624,12 € (résultat de l’exercice))

Le trésorier constate que le solde final réel est de 7 901,75 €, et non de 7 782,16 €, soit un écart positif de 119,59 €. Malgré toutes les vérifications effectuées il n’a pas pu trouver l’origine de cette différence.

Afin de résoudre cet écart et de repartir sur un solde réel, le président propose d’intégrer cette somme en tant que revenu exceptionnel.

Cette solution est adoptée à l’unanimité.

Le président met aux voix les rapports moral, d’activités et financier. Ils sont approuvés à l’unanimité.

ÉLECTIONS AU BUREAU

Comme cela était prévu dans la convocation, le président fait appel de candidature pour compléter le bureau fort mis à mal par la santé de certains et la récente démission de Patrick Béraud trésorier adjoint, peu présent aux réunions depuis un certain temps et critique vis-à-vis de la gestion financière des membres du bureau.

Il rappelle que le bureau doit être renouvelé en totalité à l’AG de 2020, mais que des volontaires pour le compléter seraient les bienvenus.es.

Pas de candidature, mais Mmes Annick Tissot-Sibille et Évelyne Lacroix ainsi que M. Pascal Breniaux acceptent de participer librement aux réunions de bureau à titre d’information sur la gestion de l’association.

PROGRAMME 1^er SEMESTRE 2019

Le début d’année est celui des projets, limités volontairement au premier semestre, considérant que les impondérables climatiques sont nombreux, et la prospective aléatoire.

Le détail de ce programme a été adressé à chacun avec la convocation à l’assemblée générale

Les activités prévues au premier semestre sont les suivantes :

Trois conférences, celle de février étant supprimée faute de disponibilité de la salle

La conférence de mars traitera de « géologie et du vignoble jurassien », celle d'avril de « Lons le Saunier depuis 300 millions d'années », et enfin celle de mai d'une famille d'insectes, « les névroptères ».

Nous aurons plusieurs visites, en avril sur les plantes printanières à Sermu, la seconde en mai à la réserve de Combe Lavaux, près de Dijon, début juin, nous irons au Bief de Corne avec la SHNChampagnole, et fin juin aux tourbières de Bellefontaine, également avec la SHNC. Juillet nous permettra d'aller voir ou revoir les spiranthes d'été en Combe d'Ain.

Le bureau a également envisagé que des membres puissent proposer des « balades » botaniques au printemps, ceci afin de palier le petit nombre de sorties organisées de façon formelle.

Cette proposition est adoptée.

Les personnes intéressées feront part de leurs projets à un des membres du bureau pour l’organisation de ces sorties. L’information sera relayée sur le site, par internet ou voie de presse. Christian Beldon propose d’ores et déjà ses compétences, mais dans le cadre de la mycologie.

Le président engage ensuite la discussion sur 2 points :

Avenir de la Société

Le président rappelle que la majorité des membres du bureau se retireront lors de la prochaine assemblée générale, ce qui ne veut pas dire qu’ils ne participeront plus aux sorties et à leur organisation ! Il n’y aura donc pas de reconduction en l’état et il faudra rechercher une nouvelle équipe (ou au moins d’une bonne partie de celle-ci). En l’absence de candidats pour 2020, il sera nécessaire d’envisager d’autres solutions.

• mise en sommeil, dont on peut mettre longtemps à se réveiller.
• rapprochement avec une autre société naturaliste, par exemple la SHN Champagnole, plus nombreuse et plus dynamique, mais basée à 40 km, ce qui pose un problème de trajet, par exemple pour les conférences.
• élection d’un bureau restreint, qui ne s’occuperait que de la stricte gestion de la Société, les activités étant portées par des membres de l’association.

Toutes ces solutions nécessitent de modifier les statuts.

Hervé Troussard rappelle que la Société était au plus bas voici 12 ans, avec 28 adhérents et deux animations annuelles seulement mais avec un bureau complet. La situation actuelle est inversée.

Ce qui est lourd c’est de devoir tout faire, gestion, organisation et encadrement des sorties, rédaction du bulletin etc. Pour que la Société perdure, il faut que les membres s’investissent plus activement ne serait-ce qu’en amenant des idées. Gilles Poirel fait remarquer qu’il n’est pas nécessaire de dominer d’emblée le sujet, les connaissances viennent petit à petit et Hervé rappelle qu’un des objectifs de la Société, c’est justement le partage de ces connaissances.

Michel Pageaut souligne l’importance du Forum des associations, qui devrait de nouveau avoir lieu cette année, pour se faire connaître et recruter des adhérents, même s’il y a des pertes en cours de route !

En l’absence de solution, quelle qu’elle soit, la Société pourrait donc disparaître, ce qui serait regrettable.

Centenaire

Le président prend acte d’un certain un manque de convivialité au sein de la Société, les activités étant plutôt didactiques, comparées à d’autres associations, comme par exemple le groupe mycologique.

Il rappelle que la journée au lac d’Antre, organisée par un membre du bureau qui a démissionné depuis, avait eu beaucoup de succès.

Dans cette optique, le centenaire, initialement souhaité comme un symposium de conférences, pourrait être remplacé par un repas au restaurant réunissant l'ensemble des membres et leur conjoint, les frais étant pris pour partie en charge par l’association.

François Schifferdecker suggère, plutôt qu’un repas au restaurant qui reste assez figé, d’organiser un pique-nique où chacun apporte de quoi préparer un buffet.

Cette idée sympathique est retenue.

Plusieurs salles pour accueillir le pique-nique sont suggérées : Andelot, Legna, Vevy.

La période de la mi-septembre est retenue et de préférence un samedi (bien sûr en fonction de la disponibilité de la salle ). Christian Beldon se renseigne à Vevy pour celle-ci.

INFOS DIVERSES

• Contact pris avec Laurence Rosain, formatrice au CFA Agricole à Montmorot auprès de BTS Gestion et Protection de la Nature qui serait intéressée par une formation botanique.
• Contact avec Gwendael David, spécialiste des libellules, qui souhaiterait approfondir ses connaissances sur les plantes de milieux humides. Il s’agirait donc d’un échange de connaissances. Pas de suite pour l’instant.
• Parc Antier : le JNE s’y installera dans une petite structure en bois. La maison sera démolie.
• Le local utilisé par la SHNJ restera disponible pour toute l’année 2019.

L’ordre du jour étant épuisé, la séance est levée à 22 h 45

Rapport signé Michèle Gonzy.